Marion Sage circule entre la pratique chorégraphique, l'écriture, la recherche et l'enseignement universitaire en danse.

En 2010, elle termine un master en danse réalisé à l'Université Paris 8 sur le danseur moderne d'Allemagne Harald Kreutzberg. Elle poursuit ses études universitaires en intégrant la formation doctorale en danse à la Freie Universität de Berlin entre 2010 et 2011. Parallèlement, elle performe dans différents projets de la plasticienne Lynda Amer Meziane. En 2011, elle obtient un contrat doctoral à l'Université de Lille pour enseigner et écrire sa thèse titrée Critiques de danse et danses critiques dans la France des années 30. Réalisée sous la direction d'Anne Boissière et d'Isabelle Launay, la thèse est soutenue en juin 2017. Parallèlement à cette recherche universitaire, Marion participe, de 2015 à 2016, à la formation chorégraphique de l'Abbaye de Royaumont sur le thème de la Citation en danse. En 2016 et 2017, elle est accompagnée dans sa recherche artistique par le Vivat, scène conventionnée d'Armentières à travers le dispositif « Pas à Pas » de la DRAC Hauts-de-France. En 2017-2018, elle est soutenue par la plateforme Happynest, aide à l'émergence artistique dans le domaine de la performance, sous la direction du collectif Superamas. Elle assiste également les artistes Danya Hammoud, Thibaud Le Maguer et Amélie Poirier d'un point de vue chorégraphique ou dramaturgique. Depuis 2016, elle collabore avec l'artiste sonore Anne Lepère sur l'écriture de récits croisant mythologies et recettes de cuisine : ces écrits prennent la forme de performances radiophoniques, de publications papier ou de représentations publiques.